Votre enfant lève les yeux au ciel quand vous l’appelez “mon bébé” ?
Eh oui, il a grandi !
Il est temps de refaire sa chambre !
Après les frises murales démentes à colorier iDraw!, The Mark on the Wall suit l’évolution de nos bambins et lance une nouvelle collection de papiers peints pour les 6-12 ans : iGrow!
Issue de contes et de romans connus de tous dédiés à l’enfance, cette ligne figurative, tremplin pour le développement de l’imaginaire, suit un principe simple : un illustrateur s’empare d’une oeuvre patrimoniale d’un auteur de son pays natal et nous en donne sa vision.
Honneur aux dames et place à l’Italie pour ce premier volet de la saga iGrow! avec Eva Montanari, qui nous propose un Pinocchio tout en sensibilité et douce folie.
Au rythme des saisons suivront d’autres éditions : à l’automne prochain, la délicate interprétation par Gérard Dubois de Peau d’Âne, suivie de l’adaptation par Christian Frapin des géants débonnaires Gargantua et Pantagruel. Puis débarqueront un Don Quichotte, un Hansel et Gretel, un Gulliver…
Douces rêveries les grands…
CARACTÉRISTIQUES :
• Papier intissé 150 g
• Frise adhésive 5 m x 15,5 cm – 44,90€, disponible dès début juillet
• 2 modèles : La mia vita turbine – Non resterò qui seduto ad aspettare
• Rouleau papier peint 10 m x 53 cm – 69,95€, disponible en septembre
• 2 modèles : Il peso del mondo – Light Sand et Light Pink
• Vente en ligne et chez de nombreux distributeurs
À PROPOS DE LA MARQUE : The Mark on the Wall est une jeune société d’édition de produits originaux et de qualité, dédiés aux enfants. Créée fin 2011 par Simon- Pierre Herman, un amoureux des arts décoratifs et de la littérature, The Mark on the Wall est au croisement de l’enfance, de la décoration, de l’image et du verbe. «Et, si vous êtes sympathiques et que nous sommes motivés et que vous êtes motivés et que nous sommes sympathiques, il y aura alors d’autres objets proposés :
vaisselle luxuriante pour goûters pantagruéliques, linge de maison pour siestes apaisées, textiles, papeterie… Que sais-je encore ?», Simon-Pierre Herman.