Jean-Luc Romero, président d’ELCS, salue cette grande avancée scientifique que constitue la capacité à contrôler le virus d’une jeune enfant contaminée au VIH par sa mère et qui avait été traitée moins de 30 heures après sa naissance.
Cela fait naître un espoir important dans la prise en charge des nouveaux-nés à haut risque.
Selon Jean-Luc Romero, cela confirme globalement la priorité qui doit être donnée à l’accès à une prise en charge thérapeutique le plus tôt possible, que ce soit pour un nouveau-né, un enfant ou un adulte. Ce n’est que comme cela que peut être pensé raisonnablement un infléchissement important de l’épidémie.
Trois conditions supplémentaires: un dépistage précoce, le respect des droits humains et un accès effectif aux traitements. Des défis qui, concrètement, peuvent être relevés si l’on s’en donne les moyens.
Alors plus de grandes déclarations mais des actes !