Entre le moment où l’on commence à penser à devenir parents et le début d’une grossesse, il peut s’écouler du temps, plus de temps, beaucoup plus de temps que ce que l’on a pu imaginer.
Les réponses médicales et naturelles existent et sont en général connues des parents et des gynécologues. Il est même possible de pouvoir choisir le sexe du bébé avec la méthode My Bubelly conçue par Sandra Ifrah.
Mais avant d’éventuellement choisir le sexe de son futur bébé, commençons par le commencement : réussir à être enceinte, ce qui avec l’âge moyen de la femme quand elle a son 1er enfant qui recule régulièrement, peut expliquer qu’il soit plus long de concevoir un enfant. En effet, en 1970, l’âge moyen de la femme qui devenait mère pour la 1ère fois était de 24 ans. En 2023, il est de 31 ans. La fertilité de la femme décroissant avec l’âge, la capacité à tomber enceinte n’est plus la même aujourd’hui. Parfois se tourner vers la psychologie intégrative peut aussi permettre de poser des mots sur des blocages et de les faire avancer et pourquoi pas de rendre la parole féconde !
Un réconfort émotionnel
Les arts divinatoires, tels que la cartomancie, l’astrologie, la voyance, la numérologie, la médiumnité… s’ils ne peuvent pas directement influer sur la future grossesse d’une femme, peuvent toutefois offrir un soutien psychologique voire spirituel. En effet, ils peuvent aider une femme à mieux comprendre les énergies qui l’entourent, ses émotions et ses angoisses liées à la grossesse. Les tirages de tarot, par exemple, peuvent offrir une perspective sur des blocages émotionnels ou mentaux, donnant ainsi une meilleure conscience à la femme de son état intérieur.
Certains praticiens pensent que l’astrologie notamment peut révéler des influences astrales ou énergétiques qui affectent les périodes propices à la conception. Un astrologue peut analyser le thème natal pour voir si des moments particuliers sont plus favorables à la fertilité ou si des défis spécifiques liés à la maternité apparaissent dans le thème de vie de la future maman ou du futur papa.
Des réponses synonymes de moins de stress
Le stress est souvent un facteur qui peut affecter la fertilité. Les consultations divinatoires peuvent éventuellement fournir un sentiment de paix ou de contrôle sur la situation en offrant des conseils sur comment mieux gérer les angoisses, ce qui pourrait indirectement aider en favorisant un environnement plus serein pour la conception.
Il est possible aussi possible d’identifier des blocages énergétiques dans le corps qui pourraient affecter la fertilité. Des approches comme le tarot, la numérologie ou la lithothérapie (thérapie par les pierres) peuvent parfois être utilisées pour identifier et travailler sur ces blocages.
Renforcer la patience
Les arts divinatoires peuvent renforcer la foi en l’univers et encourager la patience en montrant que certaines épreuves ou attentes font partie d’un processus plus vaste. Cela peut aider à réduire l’inquiétude liée à l’attente et à accepter le cheminement vers la maternité avec plus de sérénité.
Des professionnels référencés
S’il est important de rappeler que les arts divinatoires ne remplacent pas les conseils de spécialistes et/ou des traitements médicaux et il est aussi intéressant de souligner que des professionnels existent et sont identifiés. Leur présence sur Auraclis, plateforme de prise de rendez-vous en ligne spécialisée ès matière fondée par Dominic Bachy, est une caution d’avoir accès rapidement avec des spécialistes en arts divinatoires sélectionnés que l’on peut choisir en fonction de leur localisation, de leurs disponibilités, du tarif qu’ils pratiquent et qui est annoncé avant la réservation, du type de consultation proposé (en cabinet, par téléphone, ou par visio), etc. Pour aider le client dans sa recherche, chaque praticien référencé dispose d’une fiche de présentation qui lui est propre, ainsi qu’un accès aux différents commentaires laissés par ses clients.
Que la force de la nature ou la puissance des oracles soient avec les futurs parents, c’est tout le bien qu’on peut leur souhaiter.
Anne Vaneson-Bigorgne