Nouvelles de l’opération « Sauve qui peut l’Enfance » (1/2)

La politesse, premier droit selon lui, permet de nouer un dialogue, évitant la moquerie des non-dits et par ricochet, stoppe la violence, cette sale bête, selon ses propres termes, qui nous gangrène.

L’autre volet a davantage concerné le monde de l’éducation au sens large, la difficulté des apprentissages parfois, la relation des enfants au monde scolaire actuel, la relation au monde tout court, les sources de conflit avec les parents ou encore notre société ne va-t-elle pas trop vite en « adultifiant » encore et encore nos enfants, pendant que, dans d’autres pays les enfants manquent de tout ? Qu’en est-il des capacités d’attention et de concentration de nos enfants ? C’est quoi le bonheur ?

Compte-tenu de la matière importante du coffret (16 titres et un livret de 36 pages) tous les thèmes n’ont pu être abordés. (lutte contre les dangers-pédophilie, famine, misère, guerre, maltraitances …) Le mini – concert s’est achevé avec une évocation de ce qui rend les enfants malheureux et des solutions à trouver pour lutter contre ces faits qui détruisent très sérieusement leur avenir.
Une dernière chanson en gouttes de guitare a ponctué ce beau moment sur une note optimiste. Un long moment d’ échange s’est ensuite engagé, notamment avec les Jeunes Ambassadrices Défenseures des Enfants présentes.

Leur préoccupation principale : « Doit-on recevoir la parole de l’enfant ? Comment ? Sommes nous assez formées pour cela ? » Une solide expérience de terrain et théorique aussi, ainsi que l’amour pour les enfants, donne souvent la clé.
Egalement présents: Véronique Zimmeray, co-fondatrice du journal l’Avisé, Anne-Marie Collaine de l’association « Enfance et Partage », Vincent David, de l’entreprise Relation d’Utilité Publique, des familles et des enfants, bien-sûr, qui ont pu, eux aussi, s’exprimer.

« Sauve qui peut l ’Enfance! » LETTRE D’INFORMATIONS N° 2 mars 2011
Présentation d’un projet pas comme les autres !

« C’est le 9 mars 2011 qu’a eu lieu à Paris 6ème (Café des Beaux Arts) le lancement du coffret musical « Sauve qui peut l’Enfance » édité par l’Association Enfance et Chansons. Dans ce cadre fort sympathique et devant une assistance de grande qualité, les instants ont été philo-musicaux, pourraiton dire, et le temps a filé très vite. Après une présentation de l’association et de ses objectifs , Nicolas Bienvenu, consultant, fondateur de Territoires d’Evènements, a laissé la scène à Jacques Bienvenu, chanteur pour enfants, lequel a donné un bel aperçu de cet album et de son talent en interprétant 9 titres de l’album, à chaque fois ponctués de commentaires faisant appel à son expérience forte de près de 40 ans de pédagogie et de complicité avec le monde des enfants.

L’originalité du coffret CD : il parle aussi des devoirs des enfants de leurs droits et des dangers qui les guettent.

La politesse, premier droit selon lui, permet de nouer un dialogue, évitant la moquerie des non-dits et par ricochet, stoppe la violence, cette sale bête, selon ses propres termes, qui nous gangrène.
L’autre volet a davantage concerné le monde de l’éducation au sens large, la difficulté des apprentissages parfois, la relation des enfants au monde scolaire actuel, la relation au monde tout court, les sources de conflit avec les parents ou encore notre société ne va-t-elle pas trop vite en « adultifiant » encore et encore nos enfants, pendant que, dans d’autres pays les enfants manquent de tout ? Qu’en est-il des capacités d’attention et de concentration de nos enfants ? C’est quoi le bonheur ?

Compte-tenu de la matière importante du coffret (16 titres et un livret de 36 pages) tous les thèmes n’ont pu être abordés. (lutte contre les dangers-pédophilie, famine, misère, guerre, maltraitances …)

Le mini – concert s’est achevé avec une évocation de ce qui rend les enfants malheureux et des solutions à trouver pour lutter contre ces faits qui détruisent très sérieusement leur avenir.

Le coffret propose avec chaque chanson des solutions concrètes et simples

Une dernière chanson en gouttes de guitare a ponctué ce beau moment sur une note optimiste.
Un long moment d’ échange s’est ensuite engagé, notamment avec les Jeunes Ambassadrices Défenseures des Enfants présentes.
Leur préoccupation principale : « Doit-on recevoir la parole de l’enfant ? Comment ? Sommes nous assez formées pour cela ? » Une solide expérience de terrain et théorique aussi, ainsi que l’amour pour les enfants, donne souvent la clé.
Egalement présents: Véronique Zimmeray, co-fondatrice du journal l’Avisé, Anne-Marie Collaine de l’association « Enfance et Partage », Vincent David, de l’entreprise Relation d’Utilité Publique, des familles et des enfants, bien-sûr, qui ont pu, eux aussi, s’exprimer.

Soyez au coeur de la société de demain !

Une mise en bouche donc puisque l’opération « Sauve qui peut l’Enfance » ne fait que débuter.
L’association et tous ses membres remercient infiniment les personnes présentes et aussi les soutiens futurs pour leur attention, leur gentillesse et surtout pour l’ardeur qu’ils mettent tous au service de la cause des ENFANTS essentielle à notre futur!

« Parlons-nous ! Parlons-en ! Parlez-en ! »

Publié le 31 mars 2011 par Anne Vaneson-Bigorgne

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