Marquer les affaires des enfants pour les retrouver !  

Avec l’arrivée de l’hiver, les manteaux chauds, les bonnets, les gants, les écharpes, les tours de cou, les cagoules… tous ces accessoires qui permettent de protéger les enfants du froid qui viennent de ressortir des tiroirs, sont autant de choses qui risquent de ne pas rentrer à la maison.

Quand on pense que l’enfant est déjà capable d’oublier juste un manteau ou une veste, on imagine aisément que lorsque s’ajoute des gants et une écharpe à un anorak, cela commence à faire beaucoup d’affaires auxquelles penser !

En outre, il n’y a rien qui ressemble plus à un anorak bleu que l’anorak bleu au crochet voisin de celui de son enfant dans le couloir ! Et croire qu’ils sont capables de reconnaître leurs vêtements quand ils sont en train de jouer ou en pleine discussion passionnée autour des Pokémon, des Bakugan, des toupies Beyblade ou Infinity Nado, des poupées Lol ou des œufs Hatchimals à collectionner, est une vision d’adultes !

C’est un grand classique : les enfants, y compris les parents d’enfants, sont tous rentrés chez eux avec le vêtement ou les chaussures d’une autre personne, sans l’avoir « fait exprès » comme ils disent !

La meilleure solution pour que les enfants rentrent à la maison avec leurs vêtements et leurs sacs consiste à marquer tout ce que l’enfant porte et emporte pour aller à l’école et/ou au centre de loisirs. Parmi les différentes solutions de marquage qui existent, les traditionnelles étiquettes à coudre tissées ou imprimées restent les plus fiables. Les étiquettes autocollantes ou les stylos indélébiles sont certes plus rapides à mettre en œuvre mais n’offrent ni la même finition ni la même tenue.

De surcroît, à l’heure de l’économie circulaire et de l’upcycling, quand vous voulez donner ou revendre en seconde main des vêtements, il suffit d’un découd fil pour ôter les étiquettes et pour que les articles redeviennent anonymes sans laisser de trace.

Certes, cela prend un peu de temps de coudre les étiquettes, mais le temps investi à le faire est une économie à terme si cela permet de ne pas racheter les vêtements égarés ! Et pourquoi ne pas transformer cela en atelier couture en famille selon l’âge des enfants : cela les implique, développe leur motricité fine et les initie à la couture en plus d’être utile !

En 2020, on ne perd plus ses affaires : chiche, cap, dac ?

Anne Vaneson-Bigorgne

Publié le 10 décembre 2019 par Anne Vaneson-Bigorgne

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