Les babyphones: la vigilance est de mise… On en parle de plus en plus, mais qu’en est-il vraiment ?

> Un constat : la sensibilité accrue des foetus et des jeunes enfants face aux ondes électromagnétiques.
Un article canadien publié en avril 2008 dans la revue médicale « The Epidemiology » sous-entend que les enfants exposés aux rayonnements d’un téléphone mobile dans le ventre de leur mère, présenteraient, une fois devenus grands, un risque accru de troubles du comportement…
Des résultats inattendus, que les chercheurs préfèrent encore interpréter avec prudence.

Mais que sait-on aujourd’hui de la vulnérabilité des enfants face aux pollutions électromagnétiques générées par les émissions d’un appareil tel que l’écoute-bébé ou babyphone ?

Très pratiques, fonctionnels et dans l’air du temps, les babyphones permettent aux jeunes parents de surveiller à distance leurs tout-petits, pendant leurs périodes de sommeil.

LE HIC: Les enfants sont en effet hypersensibles au rayonnement nocif des appareils de télécommunication, car, proportionnellement au poids de leur corps, ils absorbent plus du double des ondes potentiellement dangereuses pour un adulte.
Les bébés sont encore plus vulnérables: leur crâne plus mince et leur système nerveux en plein développement les rendent, lors des premiers mois de leur vie, fortement réceptifs aux rayons; une exposition dont les conséquences négatives peuvent se déceler des années plus tard.

Une étude sur l’indice DAS (Débit d’Absorption Spécifique) à l’intérieur du cerveau avec une onde de 835 MHz générée par un téléphone mobile cellulaire montre le degré d’absorption des radiations du portable dans le cerveau:
– Enfant de 5 ans: taux d’absorption: 4,49 W/Kg
– Enfant de 10 ans: taux d’absorption: 3,21 W/Kg
– Adulte: taux d’absorption: 2,93 W/Kg

EXPLICATION SCIENTIFIQUE: Exprimé en W/Kg (Watt par kilogramme), l’indice DAS (Débit d’Absorption Spécifique) est reconnu par les opérateurs de téléphonie mobile et par les autorités sanitaires. cette unité est utilisée pour exprimer la puissance maximale qui peut être absorbée par les tissus humains.
Cette puissance est la chaleur qui résulte du fonctionnement d’un terminal GSM, la limite étant fixée à 2 W/kg.

Parallèlement, la limite légale de 2 W/Kg est fortement remise en question, par le monde médical et par de nombreuses associations d’usagers, car elle ne prendrait pas en compte tous les risques de santé !

Paradoxalement, il n’est toujours pas demandé d’appliquer cet indice aux babyphones. Seule leur puissance est encadrée par une norme européenne; celle-ci doit être inférieure à 10mW.

En 2005 (Source AFP), le Criirem (Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements électromagnétiques) considérait déjà que  » ces babyphones entraînaient un rayonnement et une pollution électromagnétiques non négligeables ».

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION: Même si le consensus scientifique, qui se dégage aujourd’hui, montre qu’on manque encore de recul pour avoir une connaissance exacte de l’effet sur la santé de l’usage des mobiles et autres appareils WiFi ou DECT, il semble prudent d’appliquer un véritable principe de précaution.

Et, plus particulièrement, pour des produits utilisés régulièrement dans la chambre ou à proximité du nourrisson et de jeunes enfants.

LES CHOIX TECHNIQUES DE LA MARQUE BABYMOOV: UNE RESPONSABILITÉ ASSUMÉE FACE AUX RISQUES.
Marque française de puériculture créée en 1997, la société BabyMoov développe depuis plusieurs années des produits de surveillance bébé aux fonctionnalités variées et évolutives, qui ont assis la notoriété de la marque sur un marché très concurrentiel.

Alertés par les études scientifiques publiées au sujet de l’impact des ondes électromagnétiques sur la santé des jeunes enfants, les équipes Recherche & Développement de l’entreprise se sont penchées sur la problématique des puissances d’émission de ces appareils.

Face au risque potentiel (dans l’état actuel des connaissances), l’objectif premier de BabyMoov est d’éviter l’addition de fréquences élevées et de fortes puissances pour, ainsi, limiter au maximum les rayonnements.

c’est pourquoi, la marque propose aujourd’hui une gamme d’appareils dont la puissance est en dessous de 10mW, limite fixée par la communauté européenne (via les normes touchant les produits SRD, Short Range Device).

A l’instar de la majorité des autres fabricants, Babymoov a écarté la norme DECT, empruntée à la téléphonie sans fil, qui utilise des hautes fréquences (1,8 GHz) associées à des puissances d’émission élevées (250mW) afin de bénéficier d’une excellente qualité de transmission.

Tous les composants électriques et électroniques utilisés respectent scrupuleusement la nouvelle directive ROHS sur la limitation des substances dangereuses.

> Le babyphone SLIM de BABYMOOV: un appareil qui joue la sécurité face au problème des ondes, tout en maintenant un niveau de performances optimal.
Ce babyphone nouvelle génération utilise exclusivement une fréquence de 865 MHz avec une basse puissance d’émission variant entre 4mW et 8mW, limitant ainsi fortement l’impact des ondes sur le cerveau humain.

L’unité émetteur, placée près de l’enfant, n’est plus connectée à un transformateur « classique à bobines » mais à un transformateur électronique qui n’émet pas de rayonnements.

Babyphone SLIM (extrêmement fin et compact, comme son nom l’indique !) travaille en transmission analogique, avec un code numérique: moins d’interférences et une précision optimum.

Babymoov, service consommateurs: www. babymoov.com, ou 0820 90 20 90

Source; TOSC’Anne Communication au nom de BabyMoov

Publié le 14 janvier 2009 par Anne Vaneson-Bigorgne

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