En cas de séparation, il est essentiel de protéger les enfants

Qu’un couple soit en situation de “mésentente », voire de « conflit” ou qu’il ait déjà acté son « souhait » de séparation, il est primordial qu’il pense à préserver ses enfants.
Et parce que les affaires des « grands » ne regardent que les adultes, il faut que les parents qui se séparent n’impliquent pas leurs enfants dans leurs différends.

Si la fin de la vie commune est inéluctable, il faut faire en sorte que la suite qui attend les enfants juste après la séparation soit une transition, pas un éclatement de la cellule familiale pour ne pas les perturber.

Voici quelques conseils pour y arriver :
– Ne pas se disputer devant les enfants
– Ne pas critiquer l’autre parent devant les enfants
– Ne pas se servir des enfants comme d’un « intermédiaire »
– Se mettre d’accord sur la façon dont vous allez continuer à les élever et les éduquer
– Leur expliquer la situation en disant ce qui est essentiel : il est essentiel de poser des mots sur la situation
– Ne pas leur laisser croire qu’ils ont le pouvoir de réconcilier leurs parents
– Na pas leur laisser penser qu’ils sont à l’origine de la rupture entre leurs parents
– Faire en sorte que le délai entre l’annonce de la séparation et le départ de l’un des parents soit le plus bref possible pour ne pas perturber encore plus les enfants
– Les rassurer : ce n’est pas parce leurs parents ne s’aiment plus suffisamment pour vivre ensemble qu’ils ne les aiment plus : l’amour parental est « éternel »
– Etre attentifs à leur(s) réaction(s)
Si cela n’est pas envisageable, faites-vous aider, il existe des intermédiaires neutres dont le désamorçage de conflit est le métier.

Pour toutes les formalités inhérentes à la fin de la vie commune, les futurs ex-époux font respectivement appel aux services d’un(e) avocat(e) comme Romain Omer qui les accompagne pour définir le lieu de résidence des enfants et toutes les formalités qui ont trait à l’organisation de la vie des enfants, le droit de garde, de visite, la pension alimentaire, etc.

Au risque de me répéter, en cas de séparation, préserver les enfants relève du « devoir » parental !

Publié le 23 juin 2014 par Anne Vaneson-Bigorgne

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