Une parodie masquée et interactive du célèbre conte »
Fort su succès de la pièce à La Comédie de la Passerelle (2006) ainsi qu’au Théâtre de
Ménilmontant (Avril 2008), la compagnie des Bonimenteurs relance l’aventure au Théâtre
du Funambule, tous les mercredis et samedis à 14h jusqu’au 4 janvier !
A partir de 4 ans …
Et si le peuple du royaume des contes décidait lui aussi de faire la révolution ? Et si Blanche Neige n’était pas la pauvre petite fille triste que l’on croit ? Et si les 7 nains décidaient d’un seul coup de se mettre en grève ? Telles sont quelques unes des péripéties auxquelles les personnages de ce conte » défait » vont être confrontés. Avec la vivacité et l’art de la commedia dell’arte, Les Bonimenteurs détournent Blanche Neige avec humour pour en faire une fable d’aujourd’hui.
La pièce s’adresse aussi bien au public scolaire, pour la relecture qu’elle propose des archétypes du conte et la pratique du jeu masqué qu’elle met en œuvre, qu’au public familial. La mise en scène et le jeu en proscenium en font un spectacle rythmé, réjouissant, mêlant facéties, chant et intrigues.
Distribution
Blanche Neige et la nourrice : Karine About
Pétunia et le devin : Mélodie Veillard
Le Capitaine et le prince : André Fauquenoy
Le Roi, le conteur et le miroir: Jérémie Delafosse
Auteur et metteur en scène : Laurent Rochut
Théâtre Le Funambule
53 Rue des Saules 75018 Paris
www.funambule-montmatre.com
Tarif plein : 9€
Tarif groupes : 7€
Centres de loisirs : 5,50€
A Propos de la compagnie des « Bonimenteurs »
Fondée en février 2003 par Laurent Rochut, la compagnie des BonimenteurS est née d’une volonté de pratiquer un théâtre « d’enfance » plus qu’un théâtre « pour enfants.».
Formé auprès de Carlo Boso notamment, écrivain, auteur de diverses pièces de théâtre auparavant, ancien collaborateur de l’Idiot international, écrivain, éditeur de presse, Laurent
ROCHUT, auteur et metteur en scène de la compagnie, explore l’univers du conte avec dérision. Des contes de toujours pour aujourd’hui, une écriture qui mêle le singulier de nos ridicules contemporains à l’universelle éternité de nos vanités.
Source: La Compagnie des Bonimenteurs
