Bébé/Enfants Hiver 2010 La.Tribbu

Il était une fois la mode nature …

Il aura fallu l’énergie et la volonté d’une femme, sa curiosité naturelle, un goût immodéré pour les voyages à travers le monde, des rencontres déterminantes et une conscience aigués des enjeux environnementaux qui affolent la planète. pour que la.tribbu voit le jour.
Valérie le Mao, entreprend de conjuguer expérience professionnelle et engagement personnel en 2008. Après 15 ans d’expérience dns l’univers textile, dont un poste de directrice des achats textile au sein du groupe Lafuma
L’équation est simple, créer une marque différente, sur un segment ou l’offre est encore insuffissante. Le vêtement pour les 0 à 6 ans, ludique, gai, et doté d’un supplément d’âme, bio et équitable
Les fondamentaux de la.tribbu sont ainsi posés, et le concept fait souvent écho aux valeurs fortes et à la conviction de sa créatrice, que l’on peut consommer mieux, responsable, tout en se faisant plaisir, et à des prix tout à fait accessibles.
Un parcours pavé d’obstacles, un cahier des charges très contraignant et d’heureusent rencontrent ou l’engagement est total.

La.Tribbu La.Tribbu

Les vêtements la.tribbu sont fabriqués en Inde dans la région de Bombay en toute transparence

Pour cela, il aura fallu à Valérie Le Mao, trouver des partenaires pleinement impliqués dans la démarche bio-équitable, respectueux
des principes fondamentaux du commerce éthique et équitable offrant toutes les garanties et certifications. Puis, coordonner les différents acteurs des filières, de la production du coton jusqu’à la production du coton du vêtement.

Implication des partenaires de la chaîne

Construction d’une usine de confection dédié uniquement à la fabrication de vêtement en coton biologique. SA 8000 et fair trade
Des agriculteurs, regroupés en coopérative, accompagnés, formés en techniques bio et encadrés par le filateur bio via G.O.T.S. certifié fair trade via flo.
UN filateur qui s’investit dans des projets sociaux avec la construction d’une école pour les enfants non scolarisés des agriculteurs

La.tribbu en chiffres:

La.tribbu compte aujourd’hui une soixantaine de points de vente en France .
Elle se développe à l’export, en Allemagne, en Grèce, Italie au Luxembourg, et est ditribuée en Belgique.
Pour sa première année d’activité commerciale, elle développe un chiffre d’affaire de 150 000€
Mais ce n’est là que le début d’une belle histoire, les projets pour les deux ans à venir sont nombreux, de nouveaux marchés sont en train de s’ouvrir et la collection va s’étoffer d’une nouvelle gamme de produits.

Le coton biologique

Tout plaide aujourd’hui pour l’utilisation du coton biologique. Chaque année,1 million de personnes sont intoxiquées et 22 000 meurent, victimes des subtances chimiques présentés dans cette culture.
Il faut noter que la peau, peut absorber tous les produits chimiques éventuellement utilisés. L’impact sur la santé est encore plus important pour les jeunes enfants et les bébés.
Avec le coton bio, les risques d’allergie sont moindres.
Il est donc vital de produire du coton bio, pour protéger les producteurs et leur famille, l’environnement, et la population mondiale.
Le coton biologique est un coton plus doux, plus résistant et mieux toléré par la peau des bébés.
Il utilise des angrais naturels, il est sans O G M ce qui évite tout risque pour la santé des agriculteurs et des consommateurs.
La biodiversité est protégée, la fertilité des sols et l’équilibre écologique sont préservés.
Il est exempt de métaux lourds, d’azoîdes, de p v c et de chlore.
La sérigraphie sont garanties sans p v c.
Le blanchiment se fait sans chlore et s’effectue à l’eau oxygénée.
Le coton est labellisé par global organic textile standart (G O T S).
La chaîne de fabrication est controlée par ( G O T S).

Un engagement éthique et équitable

Pour valérie Le Mao, il s’agi t également au travers de la.tribbu, de participer de manière active à l’équilibre sociale et de favoriser l’amélioration et le développement de bonnes conditions de travail chez le producteur.
Un choix fort et responsable,ou rentabilité économique de son entreprise et commerce social sont parfaitement compatibles.

Publié le 29 septembre 2010 par Anne Vaneson-Bigorgne

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